Français

Question

*** insérez dans ce texte des verbes de votre choix, en
conservant au texte sa cohérence et en respectant le temps
demandé : sauf mention contraire, les verbes sont à la voixactive:

Le mot « presbytère> venait de (infinitif présent), cette annee-là, dans mon orcille sensible, et d'y (infinitif présent) des ravages.
C'est certainement le presbytère le plus gai que je
connaisse...." (indicatif plus-que-parfait) quelqu'un.
Loin de moi l'idée de (infinitif présent) à l'un de mes
parents : Qu'est-ce que c'est un presbytère ? - J' (indica-
tif plus que parfait) en moi le mot mystérieux, comme
brodé d'un relief réche en son commencement, (participe
passé, voix passive) en une longue et rêveuse syllabe... Enrichie d'un secret et d'un doute, je (indicatif imparfait)
avec le mot et je (l'indicatif imparfait) sur mon mur. « Presbytère ! . Je le (indicatif imparfait), par-dessus le toit du
poulailler et le jardin de Miton, vers l'horizon toujours brumeux de Moutiers. Du haut de mon mur, le mot sonnait en
anathème :
:: Allez ! vous (indicatif présent) tous des presbytères ! (indicatif imparfait)-je à des bannis invisibles.Un peu plus tard, le mot (indicatif passé simple) de son
venin, et je m'avisai que « presbytère> pouvait bien (infinitif présent) le nom scientifique du petit escargot rayé jaune et noir... Une imprudence (indicatif passé simple) tout,pendant une de ces minues où une enfant, si grave, si chimérique qu'elle (subjonctif présent). (indicatif présent) passagèrement à l'idée que s'en font les grandes personnes...
- Maman! (impératif présent) le joli petit presbytère que j'ai trouvé !
Le joli petit... quoi ?
Le joli petit presb...
Je (indicatif passé simple, voix pronominale), trop tard. Il me (indicatif passé simple) apprendre -
< Je me demande si cette enfant (indicatif présent) tout son bon sens... -- ce que je tenais tant à (infinitif présent), et appeler « les choses par leur nom...>
-Un presbytère, voyons, c'est la maison du curé.
- La maison du curé... Alors, M. le cure Millot (indicatif
présent) dans un presbytère ?
Naturellement...(impératif présent) ta bouche,(impératif présent) par le nez... Naturellement, voyons...
J'(indicatif passé simple) encore de (infinitif présent)...
Je luttai contre l'effraction, je serai contre moi les lambeaux
de mon extravagance, je (indicatif passé simple) obliger
M. Millot à habiter, le temps qu'il me (indicatif futur du
passé), dans la coquille vide du petit escargot nommé <presbytère>...
- (indicatif présent)-tu prendre l'habitude de (infinitif
présent) la bouche quand tu ne parles pas ? A quoi (indi-
catif présent)-tu ?
- A rien, maman...
... Et puis je cédai. Je (indicatif passé simple) lache, et je
composai avec ma déception. (participe présent) les débris
du petit escargot écrasé, je ramassai le beau mot, je remontai jusqu'à mon étroite terrasse ombragée de vieux lilas, décorée
de cailloux polis et de verroteries comme le nid d'une pie voleuse, je la (indicatif passé simple) < Presbytère> , et je me fis curé sur le mur.

Merci d'avance ​

1 Réponse

  • BONJOUR

    Réponse :

    Le mot « presbytère> venait de TOMBER, cette année-là, dans mon oreille sensible, et d'y FAIRE des ravages.  C'est certainement le presbytère le plus gai que je  connaisse...." AVAIT DIT quelqu'un.  Loin de moi l'idée de DE DEMANDER à l'un de mes  parents : Qu'est-ce que c'est un presbytère ? - J' AVAIS RECUEILLI en moi le mot mystérieux, comme  brodé d'un relief réche en son commencement, ACHEVE en une longue et rêveuse syllabe... Enrichie d'un secret et d'un doute, je DORMAIS avec le mot et je L'EMPOTAIS sur mon mur. « Presbytère ! . Je le JETAIS, par-dessus le toit du  poulailler et le jardin de Miton, vers l'horizon toujours brumeux de Moutiers. Du haut de mon mur, le mot sonnait en  anathème :  Allez ! vous ETES tous des presbytères ! CRIAIS-je à des bannis invisibles. Un peu plus tard, le mot PERDIT de son  venin, et je m'avisai que « presbytère> pouvait bien ETRE le nom scientifique du petit escargot rayé jaune et noir... Une imprudence PERDIT tout, pendant une de ces minutes où une enfant, si grave, si chimérique qu'elle SOIT passagèrement à l'idée que s'en font les grandes personnes...

    - Maman ! REGARDE le joli petit presbytère que j'ai trouvé !

    Le joli petit... quoi ?

    Le joli petit presb...

    Je ME TUS, trop tard. Il me FALLUT apprendre -  < Je me demande si cette enfant A tout son bon sens... -- ce que je tenais tant à IGNORER, et appeler « les choses par leur nom...>

    - Un presbytère, voyons, c'est la maison du curé.

    - La maison du curé... Alors, M. le cure Millot HABITE dans un presbytère ?

    Naturellement... FERME ta bouche, RESPIRE par le nez... Naturellement, voyons...

    J'ESSAYAI encore de REAGIR...

    Je luttai contre l'effraction, je serai contre moi les lambeaux  de mon extravagance, je VOULUS obliger  M. Millot à habiter, le temps qu'il me PLAIRAIT, dans la coquille vide du petit escargot nommé <presbytère>...

    - (indicatif présent)-tu prendre l'habitude de FERMER la bouche quand tu ne parles pas ? A quoi PENSES-tu ?

    - A rien, maman...

    ... Et puis je cédai. Je FUS lâche, et je  composai avec ma déception; REJETANT les débris  du petit escargot écrasé, je ramassai le beau mot, je remontai jusqu'à mon étroite terrasse ombragée de vieux lilas, décorée  de cailloux polis et de verroteries comme le nid d'une pie voleuse, je la BAPTISAI < Presbytère> , et je me fis curé sur le mur.

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